Heineken Kanterbrau : Bonjour Jean Quille, vous m’avez informé de vos ambitions pour cette fin de tournoi. Je me propose donc de vous posez quelques questions courtes, les mêmes que tous les autres ¼ de finalistes ce soir, cela permettre de savoir qui est le plus ambitieux, celui avec le plus de remords, le plus égocentrique, ou le plus modeste... Tout d’abord croyez-vous à la victoire finale ici à l’US Open ? Quel est pour vous l’adversaire, je dis bien l’adversaire avec un grand A, le plus coriace sur ces 7 derniers ? Nous sommes ici sur dur mais quel est à votre avis votre meilleure surface ? Quelles sont vos ambitions pour la suite, vos plus grands regrets sur les tournois passés ? Vous pourrez mourir tranquille quand ?
Jean Quille : Je n'ai cru à la victoire qu'en allant serrer la main de Tiziana. Quel match! J'aime bien en 5 sets, je suis un diesel, je perds le premier set, presque toujours! En 2 sets gagnants, c'est plus dur pour moi!... Alors le tournoi entier c'est très loin, déjà le 1/4 et on verra. Hong-Kong j'ai pas visité, tout est possible!... ;-) Ma Terreur est basque, cette chère Aurkene. C'est la future n°1 mondiale, je suis sûr de mes dires, et mon compatriote Kiskeya confirme! Mais je ne peux la rencontrer qu'en finale, donc je suis soulagé...Pour ceux qui n'auraient pas suivi, j'aime l'ocre, et Kiskeya le vert. Sur le dur, on improvise. Je regrette qu'il y ait si peu de Terre Battue, non je plaisante! Moi je n'aime faire que deux choses: du tennis, ou rien. En ce moment, c'est plutôt tennis. Après on verra. Et merci au public de Casablanca, Paris et Hambourg, super chaleureux, ça motive. New-York, on verra demain.
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