La Balle Jaune Dans Ta Face : Vous deux qui êtes complètement extérieures au pseudo-conflit entre vos équipes, vous pouvez encore jouer sereinement?...
Faustina Benastruga : C'est difficile. Il y a une nuée de journalistes sous les fenêtres. J'ai même reçu un chroniqueur d'Aruba. Je ne savais même pas que les Antilles néerlandaises étaient indépendantes. Et je connais mieux le curaçao qu'Aruba. De toute façon, la sérénité, à la Bartali, c'est un peu comme si vous demandiez à l'orchestre de Bayreuth de jouer de la musique de chambre. Je compte sur mes doigts, c'est la 17ème crise qu'affronte l'équipe en trois ans. Et le départ du boss n'a rien changé. J'ai décidé de me mettre dans ma bulle, le plus loin possible de mes coéquipiers. Enfin d'une d'entre elles, au moins. Et puis il ne faut pas exonérer les autres structures. Is fecit cui prodest.
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